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" Madame Lidoine, dont Vanessa Le Charlès livre une lumineuse incarnation... On se réjouit d'entendre des interprètes qui rendent le surtitrage superflu"
Jacques Bonnaure Opéra Magazine Mai 2017
"Cette distribution particulièrement réussie est complétée avec bonheur par Vanessa Le Charlès, généreuse et chaleureuse Mme Lidoine, rayonnante de bon sens et d'apaisement. Rarement les tempéraments de toutes ces figures ont été aussi bien exprimés par des voix également soucieuses de la diction de la langue française, de l'articulation impeccable des parole"
Fabrice Malkani / ForumOpéra Mars 2017
"Bienveillante et généreuse, la Madame Lidoine de Vanessa Le Charlès porte pleinement en elle toute la tendresse maternelle que recèle le rôle, et on admire l'ampleur de l'instrument, large et corsé, auquel manque seulement un aigu un peu plus souple pour toucher à l'idéal."
Nicolas Grieneneberger Classiquenews.com / Mars 2017
« Tosca : Bon baiser de St-Etienne,
Il va sans dire que dans pareil opéra, l'attente portée sur le rôle-titre est importante. Ici, c'est à Vanessa le Charlès qu'incombe la lourde de tâche de répondre à cette attente dans ce qui est pour elle une prise de rôle. La voix est très belle mais il était probablement un peu tôt pour s'atteler à cette partition : certaines notes sont beaucoup trop puissantes et le tout manque d'une modulation et d'une modération permettant le relief vocal attendu. On entend pourtant la douceur que peut donner Vanessa le Charlès à sa voix dans l'air fameux « Vissi d'arte ». Ce léger souci est toutefois contrebalancé par un jeu et une interprétation théâtrale des plus saisissants et d'une justesse bluffante. Ce « baiser de Tosca » est magnifiquement poignant mais il n'est qu'un exemple du talent scénique indiscutable de la cantatrice.»
"Vanessa Le Charlès est une bouleversante Tosca, tant dans la voix puissante que dans le jeu très naturel. Son Vissi d'Arte, grand air du second acte,est bouleversant."
La Tribune-Le Progès 7nov 2015
Découvrir Wagner,
ouvrage coordonné par Elisabeth Brisson et René Palacios. Son ambition ne doit pas être confondue avec une démarche de vulgarisation (façon «Wagner pour les nuls») mais traitée comme une volonté de décrypter l'homme et l'œuvre en multipliant les points de vue et les angles d'approche (signalons notamment l'intéressant article de la jeune soprano Vanessa Le Charlès intitulé «Chanter Wagner»). Un ouvrage collectif au contenu disparate et dont, comme le souligne l'éditeur, «l'objectif final est bien sûr d'expérimenter par soi-même les plus beaux passages wagnériens [...] puis d'aborder les opéras complets [...] pour découvrir ce qui provoque une telle fascination». Ce qu'elle provoque est décrit sans détours par la mezzo Petra Lang: «un vertige presque euphorique».
« La Française Vanessa Le Charlès, avec un vibrato assez large et une voix puissamment projetée, a toutes les ressources d'un grand Spinto ».
Der Vampyr / Opéra Magazine.
«Se libérant totalement, Vanessa Le Charlès va du reste ce samedi, droit au coeur du public. Précieuse diction, belle voix, registre servi avec assurance et personnalité sont les raisons du succès ».
Mag'centre fevrier 2013 sur
"Les nuits d'étés de H. Berlioz"
« La jeune Vanessa Le Charlès, affronte avec cran un rôle de grand soprano dramatique. La voix est puissante et homogène, la technique assurée, et l'artiste nous semble destinée à un bel avenir. » Der Vampyr / ResMusica.
« La Soprano, Vanessa Le Charlès,dans un rôle en travesti, se distingue par sa technique assurée, le moelleux de son timbre et sa présence chaleureuse qui la dispense de forcer le trait . » La Colombe / Opéra Magazine.
« Une Colombe Aux Petits Oignons…(…) l'atmosphère bobo-altermondialiste entretenue par le Mazet - anti-OGM et très vindicatif - d'une Vanessa le Charlès remarquable d'abattage.» La Colombe / Concertclassic.
« on soulignera en particulier l'éclat de la soprano Vanessa Le Charlès dans le rôle de Moira, l'épouse abusée.» Vous qui savez… / Regardencoulisse.
« L'arrivée de Donna Eleonora, Vanessa Le Charlès permet à la fois de mettre leur agilité à rude épreuve (« Cari ogetti ») (…) sans perdre un seul de ses graves ni sa ligne de chant, vocalisant sans aucun problème et faisant preuve d'une belle tenue de souffle. C'est une parfaite réussite ! » Prima la musica e poi le parole / ODB OPERA.
Conception
LUDSKIPRODUCTION
avec XWebDesignor
Mme Lidoine dans les Dialogues des Carmélites
De Poulenc
à l'Opéra de Saint Etienne
photos Cyrille Cauvet